Ils ne sont pas nombreux, nos joyeux randonneurs, Mais ils sont très contents, joyeux, de bonne humeur, On voit sur ces photos qu’ils ne font pas semblant D’être heureux de fouler ce joli tapis blanc.
Souriants, ils sont prêts à affronter la neige Qui leur glace le nez, les orteils, et… que sais-je… Et ils crient, tous en chœur, même s’ils ont froid aux fesses : « Qu’importe le flocon, pourvu qu’on ait l’ivresse ».